Georges Drano : "Vent dominant" : éditions La Rougerie : "Si loin, le vent te borde et allonge tes pas Le souffle dont il s’empare veut-il te retenir ? Un mot s’échappe Une main passe Il ne laisse rien revenir Si vif qu’il t’arrête dans le bois de la porte Est-ce là qu’il annonce la route qu’on oublie ? Et toi rêveuse sur une terre où il ne peut entrer Et ta voix qu’il ne peut déplacer" p.37